Close-up of an incomplete white puzzle with one missing piece, symbolizing challenge and strategy.

Enfant, j’ai souvent vu l’argent disparaître avant la fin du mois. Le salaire de mes parents arrivait comme un soulagement temporaire : ils payaient les factures, le leasing, l’hypothèque, les crédits consos et ce qui restait servait aux quelques activités que l’on pouvait se permettre.

Quand j’ai commencé à travailler, je ne me suis pas posé de questions : je reproduisais simplement ce que j’avais toujours connu. Jusqu’au jour où un contexte professionnel difficile m’a fait réaliser que je ne pouvais pas démissionner simplement parce que je n’avais aucune maîtrise de mes finances.

Pourquoi j’ai décidé de comprendre mes finances

  • Faire des choix alignés avec mes valeurs
    Travailler moins, voyager, changer de job, acheter un bien, faire un enfant… comprendre l’argent donne de la liberté.
  • Arrêter de naviguer à vue
    Savoir combien coûte vraiment ma vie, mes besoins, mes projets.
  • Réduire la charge mentale
    Suivre mes dépenses m’a permis d’enlever ce stress diffus lié à chaque paiement.
  • Comprendre le système suisse
    LPP, impôts, 3e pilier… vivre dedans sans rien y comprendre ne me convenait plus.

Le déclic

En lisant sur les finances personnelles, je suis tombée sur un graphique simple : les intérêts composés.
Comprendre que l’argent peut doubler en dix ans — et que beaucoup l’ignorent — a été un choc.
Je me suis dit : “Pourquoi personne ne nous explique ça ?”
Et si j’ai raté cette information, qu’est-ce que je peux découvrir d’autre ?

Ce que j’ai découvert

J’ai compris que prendre en main ses finances est à la portée de tout le monde.
Pas besoin de diplôme, pas besoin d’un salaire à six chiffres : les bases suffisent pour la majorité des décisions importantes.
Le plus difficile, ce ne sont pas les chiffres : ce sont nos habitudes, nos émotions et notre rapport à l’argent.

Alors si vous avez envie de reprendre le contrôle, commencez petit : une question, un tableau, une prise de conscience.

C’est suffisant pour amorcer un changement durable.
Le reste suit.

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